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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() En 1758, les Français de la Nouvelle-France résistent toujours aux Anglais, grâce aux Vaudreuil, Montcalm, Lévis... Mais en 1759, le général Wolfe, avec des vaisseaux, frégates, navires et surtout dix-huit mille hommes, se présente devant Québec. Pendant deux mois, les Anglais bombardent la ville ; trois mille coups de canons ! Puis les Anglais débarquent à l'anse du Foulon, trompent les sentinelles françaises et gagnent les plaines d'Abraham. Cinq mille Anglais d'un côté ; près de quatre milles Français et Canadiens de l'autre. Mais les Canadiens, inhabitués à combattre à découvert, sont surpassés. Wolfe est tué d'une balle ; Montcalm est blessé mortellement, et meurt deux jours plus tard.
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[036] Histoire du second Frère du Barbier
(Arabe) | ± 5 pages | Vu 2927 fois. |
Antoine Galland |
Serendip - Introduction
(Perse) | ± 23¼ pages | Vu 2927 fois. |
Cristoforo Armeno |
![]() Un pauvre homme cherche un parrain et une marraine pour son prochain enfant. Une belle dame accepte d'être marraine. Elle l'éduquera quand il aura sept ans. Une fois sur place, sa marraine lui donne sept clefs mais ne doit pas ouvrir la septième armoire, ce qu'il fait. Ensuite, elle lui donne sept autres clés pour les écuries mais il ouvre la septième porte et s'enfuie avec la jument noire. Ils retournent chercher l'étrille et la brosse et dans leur fuite l'étrille se change en forêt de ronces ; puis la brosse en montagne, et la marraine qui est fée ne peut les rattraper. Il s'avère que le roi du royaume où il s'est enfuit va se marier avec sa marraine qui le reconnaît. Il doit faire venir le château aux quatre piliers d'or de cette dernière, ce qu'il fait. Ensuite la fée veut qu'on tranche la tête de Jean mais la jument devient une jeune fille qui est la fille du roi que la fée avait ensorcelée. On tranche la tête de la fée et Jean marie la princesse.
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![]() Jean échange son lingot d'or pour un cheval, pour une vache, pour un cochon, pour une oie, pour une pierre qui tombe dans une source et voilà Jean délivré de tout fardeau.
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![]() Un tailleur se perd dans le bois et trouve une cabane où il demande asile. Au matin, un cerf tue un taureau lors d'un combat mortel. Le cerf transporte le tailleur dans une salle derrière une paroi rocheuse. Il y a des grands coffres de verre où tout est en miniature : château, dépendances... Une voix lui demande de regarder dans un autre coffre où est couchée un jeune fille qui se réveille et lui demande de la délivrer. Elle raconte son histoire où un cavalier inconnu qui était un sorcier l'avait emprisonnée elle et son peuple dans des coffres de verre et avait transformé son frère en cerf. Ensemble, ils transportent les miniatures à l'extérieur où ils reprennent leur dimension originale, et les serviteurs et gens se rematérialisent. Le frère qui a retrouvé sa forme humaine vient les rejoindre.
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![]() Philippine est paresseuse et ne veut pas filer le lin. Un petit homme lui donne une quenouille magique qui file le lin toute seule. Sa soeur de lait part chercher la quenouille mais revient souffrante ; le petit homme la lui a reprise. Philippine jure de filer assez de lin pour tisser tout son linge avant de se marier ; ce qu'elle fait trois ans plus tard avec le fils d'un comtesse.
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![]() Une femme a un enfant comme un hérisson. Il demande à son père une cabrette, des cochons, des ânes et un coq ferré et part rester dans la forêt. Un roi se perd et Jean lui demande sa fille. Un deuxième roi se perd et Jean lui demande sa fille.. Jean retourne chez lui avec les cochons et repart avec son coq. Il va chez le premier roi qui est obligé de lui donner sa fille et il la punit. Il va chez le deuxième roi qui lui donne sa fille et Jean enlève sa peau de hérisson.
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![]() Deux amis, Télémachus Hicks et Paisley Fish, séduisent une veuve ; l'amitié est plus forte que tout : que le meilleur gagne. Alors, ils font la cour à la veuve toujours les deux en même temps. Hicks l'emportera mais au prix d'une oreille écorchée ; balle de 45 ou coup de balai ?
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![]() Deux fils se partagent l'héritage laissé par leur père ; ne s'entendant par sur le partage, ils demandent conseil au voisin qui leur dit de déchirez en deux les habits, des casser la vaisselle... A la fin, il ne reste plus rien.
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[038] Histoire du quatrième Frère du Barbier
(Arabe) | ± 3½ pages | Vu 2886 fois. |
Antoine Galland |
![]() Un garçon malade rêve d'avoir des cerises à manger. Une fillette, sa voisine, qui reçoit un panier de cerises de sa marraine, va les porter par charité au garçon qui croit que c'est la fée des cerises qui lui a fait ce cadeau.
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![]() Le narrateur raconte une histoire que sa mère lui a contée lorsqu'il était enfant, alors qu'une tempête de neige battait son plein : Un missionnaire (une Robe-Noire) accompagné par quelques sauvages remontent la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Un vieux guerrier entend une voix humaine et le groupe fait la découverte d'un homme, un soldat, sur lequel brille une lumière intense. La lumière s'estompe et le groupe découvre deux cadavres qu'ils enterrent sous la neige. Dans une maison canadienne, le soldat narre son aventure : il cheminait avec un ami et son père dans les bois accompagnés par un Abénaquis. Le soir, l'Abénaquis tue un des deux Iroquois qui assaillent le groupe, mais est tué par l'autre. Le soldat tue d'une balle de fusil le deuxième Iroquois. Le trois hommes sont perdus dans la forêt, en plein hiver, sans rien à manger ni de quoi faire un feu. Deux hommes périssent, le père du soldat lui fait promette de poser un tableau dans la première église qu'il rencontrera (ce sera à Rivière-Ouele). La lumière, dit-il, était l'apparition de la Sainte-Vierge...
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![]() Dieu créa les loups. Le Diable les chèvres. Les loups ont mangé des chèvres. Le Diable veut se faire payer mais Dieu ruse avec le Diable qui finit par crever les yeux des chèvres pour leur mettre ses propres yeux.
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![]() Un riche fermier ne donne jamais rien à personne mais un jour où il crut entendre une voix, il donna a son voisin huit boisseaux de blé à la condition que ce dernier veille les trois premières nuits sur sa tombe. Le riche meurt ; le voisin veille au cimetière et un soldat l'accompagne la troisième nuit. Le diable arrive et le soldat avec ruse lui vole beaucoup d'or. La moitié ira aux pauvres ; l'autre au voisin qui partagera avec le soldat.
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![]() Avant, il n'y avait que deux antilopes femelles. L'Esprit des Eaux leur dit : le prochain qui viendra boire à la fontaine deviendra une antilope mâle. Un homme et son fils se présentent ; c'est le fils qui boit. Depuis ce temps, il y a une foule d'antilopes.
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![]() Une fillette a une peur maladive des insectes, des papillons, des chauves-souris... Un jour, une souris blanche surgit dans son lit. Plus tard, la fillette s'apercevra que c'est une souris blanche « apprivoisée », apportée par sa mère. Lentement, la fillette se rapprochera de la souris, sera apprivoisée à son tour et sa peur des petits animaux en sera guérie.
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![]() En 1696, alors que M. et Mme de Verchères sont partis pour Montréal, les Iroquois attaquent les colons des environs. Des femmes, qui ont vu leurs maris mourir sous leurs yeux, se réfugient avec leurs enfants chez les Verchères qui ont une maison entourée de palissades hautes de quinze pieds. La fille des Verchères, Madeleine, âgée de quinze ans, prend les commandements des femmes, enfants et des quatre hommes sur place. Elle distribue munitions, fusils et chapeaux et, ensemble, ils repoussent les Iroquois. Ne dormant presque pas, toujours sur le qui-vive, tirant du canon régulièrement pour avertir le voisinage, la petite troupe se défendra pendant huit jours avant qu'un détachement armé mené par La Monnerie ne se présente et auquel la jeune Madeleine remettra les armes, en leur expliquant que tous et toutes ont peu dormi et sont fatigués
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![]() On l'appelle Saint-Antoine parce que c'est un buveur, un mangeur, un trousseur. C'est un grand paysan qui menace de « manger » du Prussien, car c'est l'invasion en Normandie. Or, Saint-Antoine est plutôt peureux, et lorsque les soldats s'approchent, Saint-Antoine se terre chez-lui. Mais voilà, les soldats sont dans le village et les villageois doivent tous en héberger un. Celui qui se retrouve chez Saint-Antoine ne comprend pas un mot de français, si bien que Saint-Antoine le traite de « cochon », le traîne de maison en maison et le présente comme son cochon. Il le goinfre et le fait boire jusqu'à plus soif. Un soir, l'Allemand met son poing dans le visage de Saint-Antoine, qui de son côté l'envoie valser dans le fossé, pour ensuite le frapper à la tempe avec le manche de son fouet, car le soldat avait sorti son sabre. Saint-Antoine jettera le corps dans un tas de fumer ; mais voilà, le soldat n'est pas encore mort. Saint-Antoine l'achèvera avec sa fourche et se promènera en demandant à tous où est son « soldat ». Les Allemands, ne le soupçonnant pas, tueront un vieux gendarme à la retraite.
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![]() Le roi et la reine invitent la cour au baptême de leur fils Frisselis. Les fées arrivent et la vieille fée sorcière Totorote fait son entrés et l'enfant rie de l'allure de la vieille fée. Elle lui jette un sort : il ne pourra plus jamais rire. Le temps passe ; l'enfant ne rie pas ; les médecins n'y peuvent rien ; le roi et la reine sont désespérés et bannissent tous les miroirs. La fée revient et fait se mirer Frisselis ; à sa propre vue, il rit et se trouve guéri. Bref, comme le souligne la fée Totorote, «N'oubliez pas en effet qu'on ne doit jamais, quand on est jeune, se rire des vieux et des vieilles, aussi ridicules qu'ils puissent être !...»
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![]() Un mère est démente et demande à la servante de perdre sa fille dans le bois mais une fée, sa marraine, la ramène. La mère demande alors à la servante de noyer sa fille et elle la jette dans un puits. La fille arrive dans un royaume habité par un gentil géant mais elle s'ennuie et retourne chez sa mère. Cette dernière, qui s'apprête à se remarier, plante une aiguille dans la tête de sa fille qui se transforme en oiseau parlant. Le roi met l'oiseau en cage et un bon jour remarque l'aiguille et l'enlève. L'oiseau se retransforme en fille et le roi l'épouse. Sa mère attrape la jaunisse et en meurt.
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![]() En 1745, à Orléans, maître Euverte Lupot est le meilleur luthier. Lui et ses trois compagnons croulent sous le travail ; maître Lupot décide de prendre un autre compagnon : Rinaldo Amati, fils de Flavia Amati, familles de fameux luthiers de Crémone aux XVIe et XVIIe siècles, avec Nicolas Amati qui eut comme élève Stardivarius. Pendant son séjour, Rinaldi proposera d'utiliser une vieille armoire en érable et en sapin pour fabriquer une contrebasse (qui en charmera plus d'un) avec un vernis dont la recette est un secret de famille. Plusieurs essaieront de lui soutirer son secret, même Rosine, avec qui on a laissé entendre un mariage. Finalement, Rinaldo reçoit une lettre de sa mère qui s'ennuie et, comme il a le mal du pays, il retourne en Italie, laissant à maître Lupot une autre recette de venis gras, en usage chez Stradivarius.
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![]() Une souris, Finette, vole de la nourriture ; le vieux chat la surveille, mais c'est la pie qui surprend la souris et lui refermant le couvercle d'un coffre sur les pattes. La pie va chercher le chat, mais à leur retour, la souris s'est sauvée. Depuis, elle est devenu honnête.
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![]() Ce serait les fées qui ont apportées les dolmens, ces grosses pierres. Un homme raconte une histoire à l'autre qui lui raconte celle de «La Fée des Houx» : Un bûcheron et sa femme vivent dans la misère qu'ils incombent à la curiosité d'Ève ; une fée surgit et leur donne une bourse de pièces d'or et un pot qu'ils enterrent les trois ensemble. Ni l'homme ni la femme ne doivent savoir ce qu'il renferme. Mais la femme ne peut plus résister ; elle ouvre le pot et le bûcheron et sa femmes redeviennent pauvres.
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![]() Frédéric est un propre à rien ; sa femme crie après lui ; lui bat sa femme et sa femme le bat en retour. Frédéric est ivrogne et un brin voleur. Ce qu'il voit, il le met dans son sac sans demander son reste. Quand son sac est trop plein, sa femme le traite de voleur ; quand le sac est vide, c'est un fainéant. Puis un vieillard demande l'hospitalité et Frédéric la lui donne. Le lendemain, le vieillard, qui est saint Nicolas, offre à Frédéric trois objets : un pot de colle magique qui immobilise les gens lorsqu'on dit « reste collé », un violon qui fait danser sans arrêt, un sac qui fait y entrer tout ce qu'on demande... Le saint s'en va ; Frédéric teste le pot de colle et le violon sur sa femme qui l'insulte ; il part avec son sac et y fait entrer un coq, des bouteilles de bière... Mais le diable vient chercher Frédéric, qui est toujours ivrogne et voleur ; Frédéric colle le diable assis sur un escabeau, puis le libère contre un an de sursis. L'année d'après, il fait danser le diable. La troisième année, il l'emprisonne dans son sac et apporte le tout en enfer. Saint Nicolas est fâché : le diable pris, tous les hommes étaient devenus bons (les riches donnaient aux pauvres qui disaient merci ; même la femme de Frédéric était devenue sympathique), et Paradis était plein à craquer. C'est ainsi que le diable fut relâché, et la femme de Frédéric ramenée au paradis, ce qui fut une mauvaise idée, car elle avait recommencé à l'insulter à nouveaul. Mais une fois rendu au paradis, c'est pour toujours.
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