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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Un voyageur, qui fut marchand et favori du roi, rencontre un pêcheur. Le voyageur n'est pas heureux et va sur la route, car un ange lui a dit qu'il y trouverait une leçon de vie. Le pêcheur va à la ville même si le voyageur ne lui conseille guère. Les deux hommes se retrouvent le lendemain ; le pêcheur est malheureux, car en ville il a pris conscience de sa pauvreté. L'ange apparaît et offre trois souhaits au pêcheur : sa cabane devient un palais, la rivière une grande mer, sa barque un vaisseau superbe chargé d'or. Le pêcheur monte dans son bateau mais un grand orage s'élève et la mer engloutit le pêcheur. C'est ainsi que le voyageur eut sa leçon - la cour du roi est un mer fameuse par les naufrages et le tempêtes... - et alla vivre à la campagne avec une femme vertueuse.
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Les trois œufs
(Guyane) | ± 4¼ pages | Vu 3651 fois. |
Tradition Orale |
![]() Un géant enlève le père de Petit et Grand Jean. Grand Jean va pour délivrer son père, mais ne revient pas. Petit Jean y va à son tour et, en chemin, vient en aide à un lion qui lui donne un poil pour devenir lion, un aigle qui lui donne une plume pour devenir aigle, un fourmi qui lui donne une patte pour devenir fourmi. Il deviendra fourmi pour entrer dans le château du géant, aigle pour apporter des vivres à sa mère, lion pour battre le géant et lui enlever la pierre au cou qui lui donne la force, et délivrera son père et son frère.
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![]() Les oiseaux et les quadrupèdes se déclarent la guerre ; trois oiseaux lancent trois oeufs d'autruche sur trois quadrupèdes et la hyène croit que c'est leur cerveau qui vient d'éclater. Elle se sauve et est poursuivie par un coq, et meurt dans son trou.
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![]() Le narrateur se fait conter par un ami pourquoi ce dernier n'a pas le même nom que ses frères. Il raconte que sa mère s'est mariée à un homme qui n'en voulait qu'à sa fortune. L'homme n'a jamais aimé sa femme, a eu des amantes ; ils ont eu deux fils. Lui, l'ami du narrateur, est l'enfant d'un amant de sa femme. Elle a donné son avoir à cet amant qui lui a fait oublié son malheur en lui montrant que la vie pouvait être belle. L'homme a adopté cet enfant. Quant au mari de sa mère, il a provoqué le notaire lors de la lecture du testament et ce dernier l'a tué en duel !
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![]() Dans la forêt vierge, les lianes se plaignaient que les arbres les négligeaient car elles rampaient au sol. Un jour, un arbre s'est penché et a demandé à la liane de recourber sa branche. La liane a été incapable de le faire mais s'est agrippée, puis enroulée, suivi par toutes les lianes. C'est depuis ce temps-là que règne une obscurité humide et verdâtre dans la forêt.
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![]() Jean-Pierre Lavallée, métis, pratique la sorcellerie. Il rencontre Frontenac et Jean-Talon, sauve Québec de la famine en 1704, et fait couler la flotte de Walker en 1711 en faisant jaillir une brume inattendue.
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![]() On propose à une femme d'être la nourrice de l'enfant, Elfride, d'un couple de bourgeois de Paris. Elle accepte, mais fait passer sa fille, Léontine, pour l'enfant des bourgeois. Quatre ans plus tard, ils repartent avec l'enfant de la nourrice, croyant que c'est la leur. Mais la nourrice ne peut supporter que son enfant soit au loin ; avec l'aide d'un avocat, elle reprend son enfant, les bourgeois la leur. Le temps passe et Léontine s'ennuie de ces quelques années de faste qu'elle a vécues à Paris. Elle y repartira, espérant retrouver ses parents « adoptifs » d'autrefois, mais les nouvelles sont mauvaises : certains disent qu'elle est servante dans une maison, d'autres disent qu'un voyageur lui a promis mariage.
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![]() Un prince se perd dans une caverne. Une vieille femme lui présente ses fils, les vents du Nord, du Sud, de l'Est, de l'Ouest. Il part avec le vent de l'Est vers le jardin du paradis. Il y rencontre la fée du paradis et elle le défie : pourra-t-il résister à la tentation ... Et il n'y résiste pas. Mais la Mort lui laisse une chance...
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![]() Trois chirurgiens s'arrêtent dans une auberge et montrent leur savoir-faire ; l'un se coupe une main, l'autre s'enlève le coeur, le troisième les yeux. Ils les remettront en place le lendemain (avec un onguent magique). Mais voilà que le chat part avec le tout ; la servante, avec l'aide d'un soldat, mettent à leur place la main d'un voleur qui vient d'être pendu, les yeux du chat, le coeur d'un cochon. Les chirurgiens repartent le lendemain, après s'être reconstitués, mais, dès qu'ils comprennent qu'ils ont été trompés, reviennent pour se faire dédommager. L'aubergiste leur donne de l'argent, beaucoup d'argent ; mais ce ne sera plus jamais pareil.
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![]() Un mendiant se marie avec une princesse et fait d'un prince son filleul. Le mendiant part avec la princesse dans son royaume sous la terre. Un prine part à la recherche de sa soeur, frappe sur un rocher avec une baguette blanche et descend sous terre, avec son beau-frère. La princesse se porte bien et le prince part avec son beau-frère mais revient fermer la porte à clef. Le beau-frère est parti. Le prince retourne à la maison et le second prince fait le même trajet pour voir sa soeur. Le prince part avec son beau-frère après avoir barrer la porte et en chemin, ils voient des vaches maigres dans un pré abondant, des vaches grasses dans une lande aride, deux chèvres qui se battent. Puis, dans une vieille église, le prince répond à son beau-frère la messe. Le beau-frère explique : les vaches maigres étaient des riches du temps de leur vivant ; les vaches grasses ; des pauvres, les chèvres, des voleurs ; le beau-frère, un mauvais prêtre ; les ombres dans l'église, des diables. Tous sont délivrés. Le prince retourne à la maison expliquer que sa soeur et lui mourront mais iront au Paradis.
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Les aventures de la petite souris
(Angleterre) | ± 1½ page | Vu 3605 fois. |
Sara Cone Bryant |
![]() 1535. Cartier revient pour la 2e fois au Canada. Avec Donnaconna, sur L'Emerillon, il descend le fleuve vers Hochelaga, même si le chef Huron est en désaccord avec ce voyage. En chemin, Blancs comme Sauvages prennent peur : des génies, des diables cornus s'approchent de la caravelle. Cartier ordonne de charger deux petits canons ; Donnaconna intervient : ces diables, dans la barque, sont ses deux fils.
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[030] Histoire que raconta le Marchand Chrétien
(Arabe) | ± 13½ pages | Vu 3600 fois. |
Antoine Galland |
![]() Un jeune homme tire une fleur d'un chardon qu'il offre à une jeune femme qui lui offre son coeur. Le chardon est convaincu que c'est grâce à lui...
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![]() Un garçon, sur le bord de la mer, aperçoit trois cygnes. Il prend une planche de bois, et les suit sur l'eau, si bien qu'il se retrouve au milieu de la mer. Il tombe à l'eau, et se réveille dans un château, sur un lit de plume. Trois dames l'invitent à rester auprès d'elles, mais il ne pourra plus retourner parmi les siens. Cinq ans plus tard, il s'ennuie. Un vieille lui promet de l'amener chez lui, s'il l'épouse ; il refuse. En remerciement, les trois dames le conduiront alors sur le rivage ; il voit les trois cygnes qui plongent sous l'eau pour disparaître. Il retrouve ses parents qui manifestent leur bonheur au retour de leur fils unique. Lui veut repartir, mais ne sait pas comment s'y prendre. Il attend sur le bord de l'eau, pleurant souvent, jusqu'à sa mort.
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![]() Une vieille raconte l'histoire de la mare : une vieille avaricieuse ensevelit son mari dans un drap troué. Un soir, elle voit dans le cimetière son mari sortir de terre. Il vient la voir et lui dit : voici ton drap ; tu ne pourras ni le raccommoder ni le laver. Ni de son vivant, elle put le laver ni boucher les trous ; ni de sa mort non plus et c'est pourquoi elle revient près de la mare toutes les nuits laver le linceul du mort.
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![]() Sur un bateau se dirigeant vers l'Afrique, un grand homme raconte deux anecdotes : cette fois où il avait pressentie la peur, dans le désert, traversant les grandes dunes, avec son ami et huit spahis. Un tambours s'était mis à battre au milieu de nulle part ; et son ami qui était tombé, foudroyé par une insolation. Puis, cette autre fois, où il avait réellement eu peur, dans la maison d'un garde-forestier. Ce dernier avait tué un braconnier qui était revenu le hanter. Et qui était revenu, cette fois où le narrateur se trouvait chez le garde-forestier. Celui-ci avait son fusil ; ses deux fils, des haches à la main ; les deux femmes pleuraient ; et ce vieux chien qui hurlait. On avait jeter l'animal à l'extérieur puis, contre la vitre du judas, s'était dessinée une tête blanche avec des yeux lumineux comme des fauves. Le lendemain matin, le vieux chien gisait, la gueule brisée d'une balle...
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![]() Un roi a quatre filles ; trois des princesses se marient et sont malheureuses. Lorsque la quatrième, Militine, est en âge de se marier ; elle refuse. Le roi lui donne trois semaines sinon c'est lui qui choisira. Militine va voir sa nourrice qui la renvoie à la fée au Clair-Ruisseau. Elle revient et fait semblant de broder un tissus qui n'exite pas. Tous les prédendants font l'éloge du tissu inexistant sauf un étudiant qui affirme qu'il n'y a rien sur le métier.
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![]() Un homme et une femme ont sept enfants : six garçons et une fille. La fille et le plus jeune des garçons, Yvon, sont un peu pauvres d'esprit. Un inconnu, un prince, demande la fille en mariage, la marie et l'emmène dans son Château de Cristal. Les cinq garçons les plus vieux partent pour voir leur soeur. Ils prennent des chevaux, traversent une forêt, rencontrent une vieille femme qui demande à son fils, un géant, de conduire les garçons avec leurs chevaux près du Château de Cristal. Une fois à terre, les chevaux sont morts et les garçons continuent à pied. Ils croisent des chevaux maigres dans des prés abondants et des chevaux gras dans des champs arides. Ils prennent les chevaux maigres mais les ces derniers les jettent par terre. Les fils retournent à la maison. Le plus jeune part à son tour et suit le même chemin que ses frères : la forêt, rencontre la vieille qui lui indique une route de terre noire. Yvon la suit mais son cheval meurt mordu par des serpents. Il traverse un étang. Puis suit un autre chemin profond. C'est alors que son cheval revient pour le conduire devant un grand rocher. Il suit un souterrain. Puis franchit des barrières et arrive enfin au Château de Cristal. Il voit sa soeur qui reçoit des soufflets de son mari. Mais elle dit que ce sont des baisers. Le garçon suit son beau-frère à la condition de ne parler à personne d'autre que lui. Yvon apprend ainsi que que les vaches grasses sont les pauvres contents de leur sort et les vaches maigres sont les riches jamais satisfaits. Puis le garçon touche et parle à deux arbres qui se disputaient. C'étaient mari et femme condamnés à se battre depuis trois cents ans, que le garçon vient de sauver. Mais il a parlé et doit s'en retourner au près de sa soeur. Quand le beau-frère revient, il renvoie le garçon chez lui. Quand Yvon retrouve son pays, il ne reconnaît personne. Ce que trois cents années ont passé depuis son départ.
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![]() Un tailleur chasse ses trois fils car la chèvre se plaint qu'ils ne la nourrissent pas. Le père nourrit la chèvre et comprend que la chèvre est menteuse. Il la rase et la chasse à coups de cravache. Le premier fils devient menuisier et revient avec une petite table qui donne à manger. Mais un aubergiste l'échange contre une autre table et le fils passe pour un menteur chez son père. Le deuxième fils devient meunier et repart avec un âne qui crache par devant et derrière de l'or mais le même aubergiste l'échange contre un autre âne et le fils passe pour un menteur chez son père. Le troisième fils devient tourneur de bois et revient avec un sac contenant un bâton qui bat ceux qui causent du tord. À l'auberge, il reprend la table et l'âne et toute la parenté est comblée. Quant à l'âne, il s'est caché dans le terrier d'un renard qui s'est plaint à un ours qui s'est plaint à une abeille qui a piqué l'âne qui doit courir encore aujourd'hui.
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![]() Un moujik va voir le renard qui est juge et porte plainte contre le mouton qui aurait mangé deux poules. La décision tombe : coupable ; la chair au tribunal, la peau au moujik.
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![]() Un roi a trois fils dont un Bêta. Le roi doit choisir lequel lui succédera ; celui qui ramènera le plus beau tapis, en suivant une plume. Les deux fils ramènent le châle d'une bergère. Le Bêta trouve une trappe et rencontre des grenouilles qui lui donnent un tapis. Deuxième épreuve ; la plus belle bague. Troisième épreuve ; la plus belle femme. Les deux fils trouvent deux paysannes ; le Bêta, voit une grenouille se métamorphoser. Les trois filles doivent sauter dans un anneau ; c'est la fille du Bêta qui gagne et ce dernier devient roi.
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![]() Le père Mathurin va demeurer chez ses deux gendres et leur donne, en échange, tout son avoir. Au début, tout va bien, mais lorsque les autres vieux du coin viennent visiter Mathurin, jaser et fumer la pipe, les gendres et les brus traitent le bonhomme de « déplaisant ». Mathurin va voir le père Sanschagrin qui lui raconte la fois où il a fait une expérience : il regardait deux merles nourrir leurs enfants ; quand les oisillons ont été en âge de voler, il a emprisonné la mère et le père dans une cage. Les petits ne sont pas venir nourrir leurs parents qui sont morts... Les enfants, c'est comme ça, conclut-il. Alors, les deux bonhommes retournent chez les gendres et, enfermés dans une chambre, font semblant de compter l'argent de Mathurin. Les gendres comprennent que leur bonhomme a encore de l'argent et redeviennent serviables, l'appelant pépère par ici, et pépère par là. A la mort du bonhomme, ils trouvent dans son coffre, non pas de l'or, mais des roches et un rondin ... pour casser la tête des pères qui commettent l'erreur de tout donner à ses enfants ...
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![]() Une femme se rappelle lorsqu'elle était une fillette. Son père amenait les enfants au bois. La fillette aimait les fleurs ; faisait des bouquets. Elle, qui venait de Paris, faisait des bouquets de bruyères alors que les paysannes en faisaient des balais... Et la belle tige de cette plante, myosotis... Une autre fois, à Paris, elle avait vu par la fenêtre, un petit liseron rose dans un petit pot de fleurs... « C'est sûrement un personne qui souffre... »
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