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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Un tailleur se perd dans le bois et trouve une cabane où il demande asile. Au matin, un cerf tue un taureau lors d'un combat mortel. Le cerf transporte le tailleur dans une salle derrière une paroi rocheuse. Il y a des grands coffres de verre où tout est en miniature : château, dépendances... Une voix lui demande de regarder dans un autre coffre où est couchée un jeune fille qui se réveille et lui demande de la délivrer. Elle raconte son histoire où un cavalier inconnu qui était un sorcier l'avait emprisonnée elle et son peuple dans des coffres de verre et avait transformé son frère en cerf. Ensemble, ils transportent les miniatures à l'extérieur où ils reprennent leur dimension originale, et les serviteurs et gens se rematérialisent. Le frère qui a retrouvé sa forme humaine vient les rejoindre.
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![]() Frédéric est un propre à rien ; sa femme crie après lui ; lui bat sa femme et sa femme le bat en retour. Frédéric est ivrogne et un brin voleur. Ce qu'il voit, il le met dans son sac sans demander son reste. Quand son sac est trop plein, sa femme le traite de voleur ; quand le sac est vide, c'est un fainéant. Puis un vieillard demande l'hospitalité et Frédéric la lui donne. Le lendemain, le vieillard, qui est saint Nicolas, offre à Frédéric trois objets : un pot de colle magique qui immobilise les gens lorsqu'on dit « reste collé », un violon qui fait danser sans arrêt, un sac qui fait y entrer tout ce qu'on demande... Le saint s'en va ; Frédéric teste le pot de colle et le violon sur sa femme qui l'insulte ; il part avec son sac et y fait entrer un coq, des bouteilles de bière... Mais le diable vient chercher Frédéric, qui est toujours ivrogne et voleur ; Frédéric colle le diable assis sur un escabeau, puis le libère contre un an de sursis. L'année d'après, il fait danser le diable. La troisième année, il l'emprisonne dans son sac et apporte le tout en enfer. Saint Nicolas est fâché : le diable pris, tous les hommes étaient devenus bons (les riches donnaient aux pauvres qui disaient merci ; même la femme de Frédéric était devenue sympathique), et Paradis était plein à craquer. C'est ainsi que le diable fut relâché, et la femme de Frédéric ramenée au paradis, ce qui fut une mauvaise idée, car elle avait recommencé à l'insulter à nouveaul. Mais une fois rendu au paradis, c'est pour toujours.
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![]() Jean malpropre n'est pas propre ; la fée Soigneuse lui dit d'aller voir son frère, à l'extérieur. Il demande à l'écureuil, au rouge-gorge et au chat si l'un deux est son frère. Non, ils sont trop soignés pour cela. Arrive ensuite le cochon qui affirme être son frère. Jean malpropre veut maintenant apprendre à propre.
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![]() Une femme a un enfant comme un hérisson. Il demande à son père une cabrette, des cochons, des ânes et un coq ferré et part rester dans la forêt. Un roi se perd et Jean lui demande sa fille. Un deuxième roi se perd et Jean lui demande sa fille.. Jean retourne chez lui avec les cochons et repart avec son coq. Il va chez le premier roi qui est obligé de lui donner sa fille et il la punit. Il va chez le deuxième roi qui lui donne sa fille et Jean enlève sa peau de hérisson.
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Le chien et la fleur sacrée
(France) | ± 29¼ pages | Vu 3157 fois. |
George Sand |
![]() On l'appelle Saint-Antoine parce que c'est un buveur, un mangeur, un trousseur. C'est un grand paysan qui menace de « manger » du Prussien, car c'est l'invasion en Normandie. Or, Saint-Antoine est plutôt peureux, et lorsque les soldats s'approchent, Saint-Antoine se terre chez-lui. Mais voilà, les soldats sont dans le village et les villageois doivent tous en héberger un. Celui qui se retrouve chez Saint-Antoine ne comprend pas un mot de français, si bien que Saint-Antoine le traite de « cochon », le traîne de maison en maison et le présente comme son cochon. Il le goinfre et le fait boire jusqu'à plus soif. Un soir, l'Allemand met son poing dans le visage de Saint-Antoine, qui de son côté l'envoie valser dans le fossé, pour ensuite le frapper à la tempe avec le manche de son fouet, car le soldat avait sorti son sabre. Saint-Antoine jettera le corps dans un tas de fumer ; mais voilà, le soldat n'est pas encore mort. Saint-Antoine l'achèvera avec sa fourche et se promènera en demandant à tous où est son « soldat ». Les Allemands, ne le soupçonnant pas, tueront un vieux gendarme à la retraite.
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![]() Ce serait les fées qui ont apportées les dolmens, ces grosses pierres. Un homme raconte une histoire à l'autre qui lui raconte celle de «La Fée des Houx» : Un bûcheron et sa femme vivent dans la misère qu'ils incombent à la curiosité d'Ève ; une fée surgit et leur donne une bourse de pièces d'or et un pot qu'ils enterrent les trois ensemble. Ni l'homme ni la femme ne doivent savoir ce qu'il renferme. Mais la femme ne peut plus résister ; elle ouvre le pot et le bûcheron et sa femmes redeviennent pauvres.
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![]() Une souris, Finette, vole de la nourriture ; le vieux chat la surveille, mais c'est la pie qui surprend la souris et lui refermant le couvercle d'un coffre sur les pattes. La pie va chercher le chat, mais à leur retour, la souris s'est sauvée. Depuis, elle est devenu honnête.
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![]() En 1745, à Orléans, maître Euverte Lupot est le meilleur luthier. Lui et ses trois compagnons croulent sous le travail ; maître Lupot décide de prendre un autre compagnon : Rinaldo Amati, fils de Flavia Amati, familles de fameux luthiers de Crémone aux XVIe et XVIIe siècles, avec Nicolas Amati qui eut comme élève Stardivarius. Pendant son séjour, Rinaldi proposera d'utiliser une vieille armoire en érable et en sapin pour fabriquer une contrebasse (qui en charmera plus d'un) avec un vernis dont la recette est un secret de famille. Plusieurs essaieront de lui soutirer son secret, même Rosine, avec qui on a laissé entendre un mariage. Finalement, Rinaldo reçoit une lettre de sa mère qui s'ennuie et, comme il a le mal du pays, il retourne en Italie, laissant à maître Lupot une autre recette de venis gras, en usage chez Stradivarius.
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![]() Un fils ingrat se retrouve avec un crapaud fixé au visage pour le reste de ses jours.
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![]() Un riche fermier ne donne jamais rien à personne mais un jour où il crut entendre une voix, il donna a son voisin huit boisseaux de blé à la condition que ce dernier veille les trois premières nuits sur sa tombe. Le riche meurt ; le voisin veille au cimetière et un soldat l'accompagne la troisième nuit. Le diable arrive et le soldat avec ruse lui vole beaucoup d'or. La moitié ira aux pauvres ; l'autre au voisin qui partagera avec le soldat.
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[036] Histoire du second Frère du Barbier
(Arabe) | ± 5 pages | Vu 3131 fois. |
Antoine Galland |
![]() Jean échange son lingot d'or pour un cheval, pour une vache, pour un cochon, pour une oie, pour une pierre qui tombe dans une source et voilà Jean délivré de tout fardeau.
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Ourson
(France) | ± 46¼ pages | Vu 3126 fois. |
Comtesse de Ségur |
![]() En 1696, alors que M. et Mme de Verchères sont partis pour Montréal, les Iroquois attaquent les colons des environs. Des femmes, qui ont vu leurs maris mourir sous leurs yeux, se réfugient avec leurs enfants chez les Verchères qui ont une maison entourée de palissades hautes de quinze pieds. La fille des Verchères, Madeleine, âgée de quinze ans, prend les commandements des femmes, enfants et des quatre hommes sur place. Elle distribue munitions, fusils et chapeaux et, ensemble, ils repoussent les Iroquois. Ne dormant presque pas, toujours sur le qui-vive, tirant du canon régulièrement pour avertir le voisinage, la petite troupe se défendra pendant huit jours avant qu'un détachement armé mené par La Monnerie ne se présente et auquel la jeune Madeleine remettra les armes, en leur expliquant que tous et toutes ont peu dormi et sont fatigués
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[038] Histoire du quatrième Frère du Barbier
(Arabe) | ± 3½ pages | Vu 3119 fois. |
Antoine Galland |
Le petit tailleur de Galway
(Irlande) | ± 3¼ pages | Vu 3117 fois. |
Sara Cone Bryant |
![]() Curly est un vagabond depuis son enfance, qui quête à manger, à boire, à dormir. Un soir, il se couche dans un chariot et s'endort profondément. Ranse Truesdell..., fils de son père, le vieux « Kiowa » Truesdell qui en guerre perpétuelle contre la famille Curtis (et Ranse qui est amoureux de Yenna Curtis, elle-même amoureux de Ranse ; le couple n'a donc pas d'avenir). Donc, Ranse revient au ranch avec son charriot et y découvre Curly. Il l'accueille et lui donne un lit dans l'étable. Puis Ranse apprend qu'il n'est pas le fils de Kiowa, qu'il a a été adopté, et que Kiowa avait un fils qu'on avait kidnappé lorsqu'il était enfant : Curly lui-même ! Ranse est alors libre d'aller vers Yenna.
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![]() Une sorcière emprisonne un prince dans un poêle de fonte. Une princesse se perd dans la forêt et trouve le poêle. Le prince lui indique le chemin à la condition qu'elle revienne le délivrer. Elle envoie plutôt la fille du meunier. Puis la fille du porcher. Puis la princesse y retourne et délivre le prince mais elle dit plus que trois mots à son père et le poêle et le prince disparaissent. Elle part à la recherche du prince. Dans la forêt, elle trouve des grenouilles dans une chaumière. Elle repart avec trois aiguilles qui lui permettent de franchir une montagne en verre, une roue de charrue qui lui permet de franchir trois épées tranchantes, et traverse le lac à la nage. Avec les trois noix, elle fait apparaître trois robes et la fiancée du prince (celui délivrée du poêle) accepte qu'elle passe les nuits avec ce dernier mais la fiancé ajoute un somnifère à la boisson du prince. Mais le troisième soir, le prince ne boit pas le somnifère et reconnaît la princesse. Ils refranchissent les obstacles et la chaumière se transforme en château et les grenouilles en princes et en princesses.
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![]() Un paysan superstitieux oublie de fermer la porte de l'étable et la vache s'enfuie dans la neige. Il part à sa recherche, rencontre une voisine, et croit voir la face du diable avec ses deux cornes. Finalement, ce n'est que sa vache...
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Epamirondas et sa marraine
(États-Unis) | ± 2¼ pages | Vu 3100 fois. |
Sara Cone Bryant |
![]() Un charbonnier cherche un parrain pour son 26e enfant, Charles, et le roi se propose. Il donne des écus et la moitié d'une platique que l'enfant devra lui rapporter à dix-huit ans. À dix-huit ans, Charles part pour voir le roi et n'écoute pas une vieille qui lui dit de ne pas boire de l'eau à une fontaine. Il en boit et un inconnu se sauve avec sa platine. L'inconnu va voir le roi et se fait passer pour son filleul. Charles arrive à son tour et l'étranger pour s'en débarrasser raconte au roi que Charles sait pourquoi le soleil est si rouge au lever. Charles doit partir à la demande du roi voir le soleil. En chemin, il rencontre un veillard qui lui donne un cheval de bois qui vole dans les airs et explique comment aller à la montagne où demeure le soleil. Sur la montagne, il est reçu par la mère du soleil qui le protège de son fils et Charles repart avec la réponse du soleil : il brille au rouge pour être aussi brillant que la Princesse de Tronkolaine. Charles doit repartir quérir la Princesse pour la marier au roi. Il rencontre le veillard qui lui dit de demander au roi trois bâteaux remplis de gruau, de lard et de viande salée qu'il donnera en chemin à des fourmis, des lions et des éperviers. Ces derniers expliquent comment aborder la Princesse et jetant une orange dans une fontaine. Lorsque Charles demande à la Princesse de l'accompagner, elle lui donne trois défis : ramasser et trier des graines de trèfles, chanvres..., de couper des arbres avec une hache en bois, de raser une montagne avec une pelle en bois. Charles fait appel aux fourmis, lions et éperviers pour relever les défis. La Princesse accompagne Charles et révèle au roi que l'inconnu est le diable. Le roi jette le diable au feu et la Princesse épouse Charles.
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![]() Un seigneur, Bienassis, avait un serviteur, Pois-Vert, qui lui jouait des tours et qu'il a renvoyé. Pois-Vert, un matin que le seigneur passait chez lui, faisait semblant de faire bouillir, avec un fouet, une marmite qu'il avait préalablement chauffée à l'aide de morceaux de fer rougis au feu. Poix-Vert expliqua au seigneur que le fouet qu'il utilisait pour battre la marmite était magique ; les seigneur acheta le fouet 100 $ et fut l'objet de la risée générale lorsqu'il essaya de faire chauffer une théière chez lui. Il retourna chez Pois-Vert qui fit semblant de tuer sa femme avec un couteau, alors qu'il perça en vérité un sac rempli de sang. Il fit revenir sa femme à la vie en sifflant dans un sifflet ; le seigneur acheta le sifflet 200 $. Lors qu'un créancier vint pour se faire payer, le seigneur le tua d'un coup d'épée et ne réussit pas à le réanimer avec le sifflet. Il ordonna à deux de ses hommes de se saisir de Pois-Vert, de le mettre dans un sac et de le jeter dans la rivière. Mais en chemin, Pois-Vert donna sa place à un vacher, lui faisant croire qu'on l'amenait épouser une princesse. Les deux hommes noyèrent donc le vacher et Pois-Vert revint avec les vaches de l'autre, expliquant au seigneur que si ses hommes l'avaient tiré plus loin dans la rivière, il serait revenu avec des chevaux magnifiques. Le seigneur demanda à ses hommes de le tirer dans la rivière à l'endroit indiqué et s'y noya ; Pois-Vert devint un riche commerçant.
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Amazonte
(Perse) | ± 6½ pages | Vu 3081 fois. |
Cristoforo Armeno |
![]() En 1778, le comte d'Algueville et sa seconde femme marie leur unique fille, Madeleine, au fils de la baronne douairière du Plaissis-d’Algueville, Alain. Madeleine, qui venait de sortir du couvent, avait emmené du couvent une chatte baptisée Minou-Minette. Lors de l'entrevue entre Madeleine et Alain, ce dernier prit dans ses bras la chatte, ce qui charma Madeleine. Le couple a trois enfants. Puis arrivent les événement de 1789 et 93. Alain d’Algueville est du côté du Roi et se rend à Paris. En 92, c'est le massacre aux Tuileries et on croit mort Alain d’Algueville. Mais il reviendra au château d'Algueville, presque six mois plutard, pour préparer leur fuite dans un yacht. Mais voilà que des républicains viennent faire une perquisition. Alain et son frère, un prêtre, se cachent dans une pièce secrète. Les hommes se rendent à la bibliothèque, et Madeleine craint qu'ils ne voient une lettre compromettant sur la table de lecture. Mais voilà que sa chatte, Minou-Minette, est couchée sur la lettre et la cache complètement. Les républicains partent ; les maîtres s'enfuient en Angleterre, pour revenir quelques années plus tard avec quelques Minou-Minette nées dans l'exil.
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