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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
[040] Histoire du sixième Frère du Barbier
(Arabe) | ± 8½ pages | Vu 4328 fois. |
Antoine Galland |
Cocorico !
(Canada) | ± 5¾ pages | Vu 4323 fois. |
Isabel Dos Santos |
![]() Une paysanne a une fille et une belle-fille. Dieu fait devenir la mère et la fille noires et laides. La belle-fille a trois voeux : belle, riche et la joie éternelle. Son frère en fait un tableau et le roi tombe amoureux. En chemin, la mère qui est une sorcière fait tomber la fille à l'eau qui se change en cane. Le roi jette le frère dans une fosse de serpents ; la sorcière ensorcelle le roi qui pense belle la laide. La cane revient trois fois en demandant où est son frère. La troisième fois, le roi transperce la cane qui redevient jeune fille. Elle explique tout au roi. Le roi met la mère et la fille dans un baril garni de clous attaché à un attelage.
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Le chien et la fleur sacrée
(France) | ± 29¼ pages | Vu 4318 fois. |
George Sand |
Ravet et Poule
(Guyane) | ± 1½ page | Vu 4308 fois. |
Tradition Orale |
![]() La puce, la sauterelle et l'oie sauteuse font un concours de saut, car celle qui sautera le plus haut aura la fille du roi. L'oie sauteuse se retrouve sur les genoux de la princesse, et le roi la couronne gagnante car « il faut de la tête pour en avoir eu l'idée ».
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![]() Lorenz d'Ittenbach dépense, boit et joue son argent. Il aime aussi la chasse, des animaux à poil et à plume. Un jour où il passe devant la boutique du vieil horloger, maître Hyrcanus, qu'on dit un peu sorcier, Lorenz veut acheter une montre ; l'horloger lui donne plutôt rendez-vous le lendemain pour parler du prix. L'horloger est paralysé des jambes, et c'est un espèce de géant - sorte de monstre, d'une force herculéenne, appelé Gnomo - qui le transporte d'un point à l'autre. Le lendemain, l'horloger demande les ailes et les plumes de six aigles comme paiement ; Lorenz accepte. Les deux hommes seront un temps avant de se revoir ; Lorenz voit enfin le travail de l'horloger : une paire d'ailes gigantesques, attachée à une cuirasse aux articulations compliquées. Dans un bois, Lorenz essaie l'invention, et s'envole sans difficulté pour planer à son grand plaisir. L'horloger convainc Lorenz de faire une représentation devant l'empereur. Or la guerre se déclare et Lorenz se consacre à ses préparatifs. Un soir de tempête, Gnomo tombe dans un arbre ; il porte la cuirasse aux ailes de plumes d'aigles. Mais le vent le projette dans les airs, pour le faire disparaître. Lorsqu'on enquête chez l'horloger, on comprend que Gnomo l'a égorgé et lui a volé l'invention. Un demi siècle plus tard, le petit-fils de Lorenz découvrira dans une grotte en haut d'un montagne le squelette de Gnomo, et l'appareil volant...
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![]() Une fillette lit un livre, Colibri. Il parle d'un enfant qui quitte ses parents pour en trouver d'autres, des gitans. La fillette grandit et plus tard elle rencontre une copine de la petite école, une gitane. La grand-mère de la copine insiste pour dire que la fillette est aussi une gitane.
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![]() Un voleur est au grenier ; le marchand et son domestique y monte pour l'inspecter. Le voleur est bien caché éternue et se fait attraper.
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![]() Un homme et une femme veulent un enfant et le septième mois la femme accouche d'un enfant d'un pouce. Il aide son père à travailler et deux hommes l'achètent. Il se sauve et dénonce des voleurs qui vont chez le curé. Tom Pouce dort dans la paille, s'endort et se fait avaler par la vache qui se met à parler. Le curé fait tuer la vache la croyant ensorcelée. Un loup mange le reste de la vache et va chez les parents de Tom Pouce. Il mange trop et est coincé ; le père tue le loup, l'ouvre et retrouve son enfant.
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![]() Un homme a trois fils et celui qui aura le meilleur savoir-faire de son métier héritera de la maison. Le premier est maréchal-ferrant, le second barbier, l'autre maître d'armes. C'est le troisième qui héritera mais il partagera la maison avec ses frères.
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![]() Tigre se fait accompagner par son neveu Kariacou pour acheter une énorme quantité de provisions pour une fête avec ses amis. Tigre doit s'absenter deux jours et Kariacou, insulté de ne pas avoir été récompensé par Tigre, invite sa cousine Tortue pour boire tout ce qu'il y a boire et manger tout ce qu'il y a à manger. Kariacou se sauve et Tigre ne le rattrape pas ; la Tortue, rusée, demande aux petits du Tigre de la jeter à l'eau... Ce sont ses petits que Tigre punira !
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Les deux rats boulangers
(Guadeloupe) | ± 1½ page | Vu 4259 fois. |
Tradition Orale |
![]() Un roi a quatre filles ; trois des princesses se marient et sont malheureuses. Lorsque la quatrième, Militine, est en âge de se marier ; elle refuse. Le roi lui donne trois semaines sinon c'est lui qui choisira. Militine va voir sa nourrice qui la renvoie à la fée au Clair-Ruisseau. Elle revient et fait semblant de broder un tissus qui n'exite pas. Tous les prédendants font l'éloge du tissu inexistant sauf un étudiant qui affirme qu'il n'y a rien sur le métier.
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![]() Deux familles, les Meng et les Djang, partagent un mur de pierre, où leurs jardins se touchent. Un jour, un fruit surgit d'une fleur. Une querelle s'en suit et on décide de couper le fruit en deux ; en sort une petit fille qu'on nomme Meng Djang. À cette époque, l'empereur fait construire un mur pour protéger le pays contre les invasions. Le mur s'effondre régulièrement ; un sage propose d'emmurer un homme à tous les blocs d'une lieu. Des hommes, filles et enfants sont alors emmurés vivants. Le peuple pense à se révolter ; un autre sage propose d'emmurer un seul homme nommé Wan, dont le nom signifie dix mille, ce qui sera bon pour les prochaines dix mille lieues du mur. L'homme s'enfuit, se retrouve dans le jardin de Meng Djang ; ils se marient le lendemain. Mais l'empereur le retrouve, le fait emmurer et veut faire de Meng Djang - qui cherche à retrouver le corps de Wan - son impératrice. Elle accepte à la condition qu'on fasse une fête des morts et qu'on construise une terrasse sur les rives du fleuve. Elle se jettera à l'eau ; alors que les soldats, pour venger l'empereur, couperont son corps en morceaux, il en sortira des poissons d'or.
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![]() Le père Mathurin va demeurer chez ses deux gendres et leur donne, en échange, tout son avoir. Au début, tout va bien, mais lorsque les autres vieux du coin viennent visiter Mathurin, jaser et fumer la pipe, les gendres et les brus traitent le bonhomme de « déplaisant ». Mathurin va voir le père Sanschagrin qui lui raconte la fois où il a fait une expérience : il regardait deux merles nourrir leurs enfants ; quand les oisillons ont été en âge de voler, il a emprisonné la mère et le père dans une cage. Les petits ne sont pas venir nourrir leurs parents qui sont morts... Les enfants, c'est comme ça, conclut-il. Alors, les deux bonhommes retournent chez les gendres et, enfermés dans une chambre, font semblant de compter l'argent de Mathurin. Les gendres comprennent que leur bonhomme a encore de l'argent et redeviennent serviables, l'appelant pépère par ici, et pépère par là. A la mort du bonhomme, ils trouvent dans son coffre, non pas de l'or, mais des roches et un rondin ... pour casser la tête des pères qui commettent l'erreur de tout donner à ses enfants ...
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![]() Un fils part en voyage en voulant être honnête. Il répète au prochain ce que le précédent lui a dit et ne récolte que des malheurs. Il revient à la maison et c’en est fini des voyages.
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![]() Un cowboy blessé demande au cuisinier de lui faire des crêpes ; le cuisinier, Judson Odom dit Jud, raconte une histoire de crêpes. Autrefois, il était chez Bill Toomey, sur le San-Miguel, et voit sa nièce, Miss Willella Learight, qui vient de Palestine. Il lui fait la cour mais voilà qu'un bêlard, Merle Jacson, entre dans la compétition. Jud menace de tuer Merle ; ce dernier promet de se retirer si Jud soutire à Willella la fameuse recette de crêpe. Mais à chaque fois qu'il parle de crêpe, Willella et son oncle se mettent sur leur garde. Plus tard, Jud apprend que Willella et Merle sont mariés. En fait, Merle avait invité cette histoire de crêpes pour se débarrasser de Jud.
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![]() Le narrateur se fait conter par un ami pourquoi ce dernier n'a pas le même nom que ses frères. Il raconte que sa mère s'est mariée à un homme qui n'en voulait qu'à sa fortune. L'homme n'a jamais aimé sa femme, a eu des amantes ; ils ont eu deux fils. Lui, l'ami du narrateur, est l'enfant d'un amant de sa femme. Elle a donné son avoir à cet amant qui lui a fait oublié son malheur en lui montrant que la vie pouvait être belle. L'homme a adopté cet enfant. Quant au mari de sa mère, il a provoqué le notaire lors de la lecture du testament et ce dernier l'a tué en duel !
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Le petit homme rouge du Louvre : légende de Paris
(France) | ± 2½ pages | Vu 4223 fois. |
François de Nion |
![]() Le narrateur parle de la souffrance, la misère des vieux... sans pain, sans espoir, sans argent... et raconte la fois où il est allé, accompagné d'un médecin, chez des pauvres qui souffraient d'angine et de fièvre. Ils y ont trouvé la mère et sa fillette, sans eau ni soin depuis vingt-quatre heures. La mort rôde dans cette maison délabrée ; où le père et son fils ont été emportés par la maladie. Le narrateur laisse de l'argent pour qu'une garde viennent veiller les malades... et se sauve...
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![]() Jean-Pierre Lavallée, métis, pratique la sorcellerie. Il rencontre Frontenac et Jean-Talon, sauve Québec de la famine en 1704, et fait couler la flotte de Walker en 1711 en faisant jaillir une brume inattendue.
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![]() Trois chirurgiens s'arrêtent dans une auberge et montrent leur savoir-faire ; l'un se coupe une main, l'autre s'enlève le coeur, le troisième les yeux. Ils les remettront en place le lendemain (avec un onguent magique). Mais voilà que le chat part avec le tout ; la servante, avec l'aide d'un soldat, mettent à leur place la main d'un voleur qui vient d'être pendu, les yeux du chat, le coeur d'un cochon. Les chirurgiens repartent le lendemain, après s'être reconstitués, mais, dès qu'ils comprennent qu'ils ont été trompés, reviennent pour se faire dédommager. L'aubergiste leur donne de l'argent, beaucoup d'argent ; mais ce ne sera plus jamais pareil.
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![]() Une pauvre femme a un fils, Allanic ; ensemble, ils demandent la charité. À quinze ans, l'enfant part pour la France, avec un pain et des crêpes. Il se rafraîchit sur le bord d'une fontaine et partage sa nourriture avec un autre voyageur : Fistilou, qui est danseur. Allanic est musicien. Il se taille une tige de seigle pour en faire un chalumeau et se à en jouer ; l'autre se met à danser. Ensemble, ils vont dans un village et amusent les gens. Avec l'argent, ils s'achètent un violon mais les gens n'aiment pas. Ils repartent jouer dans un château pour les deux filles d'un géant. Le géant s'amuser et tous vont dormir, après que les géants aient mangé un chrétien... Allanic entend le géant qui dit à sa femme qu'il va manger les deux garçons. Ces derniers échangent leurs bonnets rouges contre les bonnets blancs des filles du géant de sorte que le géant tranche la tête de ses filles. Quand le géant s'en aperçoit, le lendemain matin, les garçons se sont enfuis. Le géant met ses bottes de sept lieux et part à leur recherche. Fatigué, il s'endort et Allanic vole les bottes au géant. À Paris, ils deviennent garçons d'écurie pour le roi. Puis Allanic va chasser avec le roi et Fistilou fait savoir à tous que son ami a des bottes de sept lieues volées à un géant. Le roi demande à Allanic d'aller reprendre la demi-lune que le géant lui a volé. Plus tard, le garçon devra ramener la cage d'or que le roi regrette. Le géant l'attrapera pour le mettre dans un sac. Le garçon va s'échapper et c'est la femme du géant qui se retrouve dans le sac. Or, le géant, à son retour, bat le sac avec un arbre déraciné et tue sa femme. Enfin, Allanic devra capturer le géant et le ramener. Avec ruse, il l'invite à monter dans un carrosse et le géant se retrouve prisonnier. Il sera brûlé vif sur un feu d'enfer et Allanic se mariera avec la fille du roi.
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![]() Un couturier mange des prunes et dit : « si j'en mange une autre, que le diable m'emporte ». Le diable arrive et le met dans un sac et va faire des affaires. Entretemps, un gardien de troupeau délivre le couturier contre la promesse de se faire faire des habits. À la place du couturier, ils mettent un bouc méchant dans le sac.
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