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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Alors que des ingénieurs évaluent à un prix exorbitant le déplacement d'un bloc de pierre, un moujik propose de ... l'enterrer.
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![]() Vers 1350, Guillaume au nez tors sème la terreur. Il ordonne qu'on mène à son château la belle Pervenche, mais Manches-Vertes reçoit de Guillaume la promesse que Pervenche lui sera donné comme femme, s'il fait trois fois le tour du village à la course, et qu'il transporte la belle sur les épaules sur une montagne. Dans le cas contraire, il sera pendu. Manches-Vertes est presque rendu sur la montagne, mais une dernière roche semble infranchissable ; d'autant plus qu'il est exténué. Il se rappelle alors le nom d'un petit être haut de cinq pouces à qui il avait sauvé la vie, et prononce Angelo. Le petit homme apparaît et fait boire à Manches-Vertes un élixir, et ce dernier gravit la roche et gagne son pari. Il apprendra que le petit homme s'appelle Angelo Mariani, et que la liqueur est fait à base de Coca ! D'ailleurs, grâce au liquide divin, Manches-Vertes et Pervenche auront en quatre années six filles et six garçons !
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![]() En 1689, des milliers d'Iroquois attaquent les colons de la Nouvelle-France et font des centaines de mort. Frontenac ordonne d'attaquer les vrais responsables : les Anglais de la Nouvelle-Angletterre. Le contingent est divisé en trois : Sainte-Hélène et d'Iberville partent avec l'un deux. Les Canadiens reviennent vainqueurs laissant derrière eux morts, massacres et ruines. Les Anglais veulent se venger à leur tour, mais l'armée de Winthrop doit revenir sur ses pas, incapable de faire le chemin que les colons français avaient fait à pied en plein hiver. Par contre, Phipps et ses trente-cinq nefs anglaises jettent l'ancre devant Québec le 16 octobre 1690. Les canons sur terre et sur eau font rage ; quinze cents Anglais débarquent, mais des attaques à la « canadienne » qui ne se font pas à découvert mais par petits groupes dissimulés sèment le doute dans l'esprit des Anglais, comme les cloches qui tout à coup sonnent le tocsin... Les Anglais regagnent leur bateau et s'en retournent pour Manhatte (New York) et apprendront, plus tard, que Frontenac n'avait que cent hommes pour défendre la ville !
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![]() Une bouteille brisée servant de bassin d'eau pour un oiseau se rappelle sa vie : sa fabrication, un mariage, de l'eau de vie, un naufrage, sa fin en goulot de ... bouteille.
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![]() Une rose qui pousse sur la tombe d'Homère rêve qu'elle sera cueillie par un chanteur du nord pour être aplati entre les pages d'un livre.
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![]() Monsieur Pointu, cordonnier, critique tout : sa femme, sa servante, les maçons, le charpentier... Un jour il rêve qu'il est au paradis où il croit que tout est parfait mais deux anges portent de côté un pièce de bois, deux autres puisent de l'eau avec un seau percé, puis des anges qui mettent des chevaux devant et derrière une voiture pour la désembourber. Monsieur Pointu se réveille et content de ne pas être mort et continue de veiller à la perfection.
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![]() Le narrateur philosophe sur ces petits riens qui nous hantent pendant toute une vie. Il se rappelle une pépinière, superbe jardin d'un autre siècle, où il avait vu un danseur et une danseuse célèbre du temps de Louis XV. Pour lui, les deux vieux feront une démonstration de cette « reine des danses, et la danse des reines », le menuet ; c'est à la fois lamentable et comique. Le narrateur devra s'absenter de la ville et, à son retour, la pépinière aura été détruite. Et les vieux, eux ?
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![]() Pendant la veillée au mort, beaucoup en profitent pour se souvenir du vieux Baptiste Verrouche, et conter des anecdotes à son sujet. L'homme fort, Mouton, se rappelle cette fois où il levé Baptiste assis sur sa chaise au bout du bras. Le vétérinaire se souvient quand le cheval de Baptiste avait battu le trotteur de TiToine, sans un seul coup de fouet donné au cheval. Le meunier narre la fois où Baptiste et Jérémie, qui s'occupait des chevaux, avait donné du sel et de l'eau au cheval d'un Américain ; la course était à peine commencée que ce dernier avait ramené aussitôt son cheval, concédant sa défaite. Siméon Rabottez raconte la fois où Jérémie avait décloué un des fers du cheval d'un gars de Sorel, qui avait dû s'avouer vaincu après six arpents. À ce moment de la veillée, l'homme fort, Mouton, veut montrer sa force et fait asseoir des hommes sur la table où repose le cercueil ; il soulève le tout, mais l'équilibre n'y est pas et le cercueil se renverse. Ensuite, les hommes jouent à la roue de fortune, à coups de dix sous, et c'est Mouton, qui joue pour le mort, qui fait le plus d'argent. Dans la cuisine, Claude Barsolais prend le sein gonflé de la grosse Valentine - qui donnait le sein à son enfant -; elle lui lance à la figure la « couche pleine » de son enfant. Puis tous se retrouve dans le cortège qui suit le corbillard ; la voiture tiré par un cheval accroche une autre voiture et la renverse ; la femme d'Antoine Le Rouge aura le bras cassé. Dans l'église, Philorum Massais est tellement ivre qu'il vomit dans le bénitier. Au cimetière, les hommes qui s'attardent sur la tombe de Baptiste se passent un flacon de gin payé à même les gains du défunt, à la roue de fortune. Cela se passait à Allumettes...
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![]() En 1777, dans le coin de Saint-Sulpice, Fortuné Bellehumeur chemine, mais une tempête de neige l'oblige à s'arrête à l'auberge du Lion d'Or. On ne peut ni ne veut le recevoir ; l'auberge est réservée pour un mariage mais, faisant le « sourd », il s'invite tout de même, prend place, mange, dort dans une chambre qui était pour quelqu'un d'autre, et part le lendemain matin en ne donnant que la moitié de la somme demandée par l'aubergiste, en lançant : « j’ai pour règle invariable de ne pas accepter de change... Vous le donnerez au garçon ».
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![]() Un Indien raccompagne un Anglais près du camp anglais, alors que ce dernier a tué le fils du premier, et tuera sans doute les siens.
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![]() Le père décide de donner à l'aîné tout son avoir à sa mort ; la mère est désespérée, mais un pèlerin lui conseille de tout dire aux deux fils. Le cadet part s'instruire ; l'aîné attend son héritage. À la mort du père, l'aîné, ne sachant rien faire, dilapide son bien, alors que le cadet s'enrichit de son savoir.
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![]() Trois amis se voient pour le dernier soir ; Bill qui restera seul ; Tom qui part pour le régiment ; la jolie Sal qui ira travailler dans restaurant de Yarmouth, où les serveuses précédentes ont toutes eu des « ennuis » avec le patron... Ils vont de « pub » en pub ; boivent, chantent, se battent... Tom roule sur le trottoir... Sal, les yeux fermés, chante... Bill hoquette le long du mur...
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![]() Des voleurs volent à Mme Lefèvre des oignons. Elle décide d'adopter un chien pour signaler la présence des voleurs, mais un petit chien pour qu'il ne mange pas tout l'argent de la femme, car elle est chiche. De plus, il doit être gratuit. Elle en adopte un qui leur fait plaisir, à elle, et sa servante. Or, elle devra payer un impôt de huit francs ; les deux femmes décident de le jeter dans un puits qui conduit à des galeries de mines, là où on fait piquer tous les chiens dont on veut se débarrasser. L'animal tombe, jappe, se plaint ; il s'est sûrement cassé une patte. La culpabilité fait revenir les deux femmes le lendemain, qui jettent de la nourriture au chien. La scène se déroule quelque temps mais, lorsqu'elles s'aperçoivent qu'il y a un autre animal, elles estiment qu'il leur en coûtera trop pour nourrir les deux chiens, et partent, pour ne plus revenir.
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![]() Des chasseurs se retrouvent à tous les printemps pour chasser les guillemots, ces oiseaux qui viennent d'aussi loin de Terre-Neuve pour pondre leurs oeufs. Au fil des années, les chasseurs sont de moins en moins nombreux ; plus que quatre. D'ailleurs, le quatrième, qui est en arrivé en retard, veut précipiter son départ. On lui demande la raison ; c'est qu'il transporte le corps de son neveu. On lui fait comprendre qu'un mort, est un mort, et qu'un jour de plus n'y changera rien. Il consent donc à continuer la période de chasse...
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![]() Petit compte à répétitions.
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![]() Un père et une mère ont trois fils ; deux dépensiers, un travaillant, qui est le plus jeune.. Les parents meurent ; les trois fils partent et prennent trois chemins. Le plus jeune, Louis, arrive chez un fermier où toute la maisonnée est en pleurs. Louis demande pourquoi : une méchante fée a volé toute les vaches qui son gardées par son dragon ; celui qui les ramènera mariera la très belle fille du fermier. Louis part et rencontre un vieille femme qui lui dit comment faire : demander à la sorcière la fleur qui peut déjouer les sorts. Un : ne pas la précéder ; deux : ne pas se pencher vers vers le trou ; trois ; tuer le dragon qui aura mangé la sorcière. Louis fait le tout et revient avec les vaches. Sept ans plus tard, Louis retrouve ses frères et les invite à demeurer chez lui.
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![]() À la ferme, tout le monde garde quelque chose : chevaux, didons, poules, la maison ; seul Piccolo ne garde rien. Il part recherche quelque chose à garder et trouve trois escargots. Un corbeau mange le escargots mais Piccolo tue le corbeau est en ressort les escagots qui s'avèrent être trois fées qui promettent d'aider Piccolo s'il les appellent avec les coquilles vides. À la ville, Piccolo apprend que la princesse est triste : elle a perdu la santé, la beauté et la richesse. Piccolo promet au roi, à la reine et à la princesse de tout réparer. Il va appeler tour à tour les trois fées qui vont lui dire comment vaincre les trois mauvaises fées : Maligne, Hideuse et Rapace. Lorque la princesse recouvre la santé, la beauté et la richesse, le roi offre à Piccolo d'épouser sa fille. Piccolo, devenu roi, ramène toute sa famille au château et devient le gardien de tous.
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Les deux cafiés
(Guadeloupe) | ± 1½ page | Vu 2827 fois. |
Tradition Orale |
![]() Curtis Raidler, éleveur de bétail, prend sous son aile Mac-Guire, qui tousse et est pris de phtisie, et le conduit dans son ranch pour qu'il recouvre la santé. Mac-Guire se plaint toujours. Un jour, un médecin de passage l'examine et le déclare en santé. Curtis Raidler l'envoie travailler avec les cowboys, même si l'autre se déclare malade, puis s'absente pour deux mois. À son retour, il apprend que Mac-Guire a été très malade, a craché du sang, mais il le retrouve finalement en pleine santé : le grand air lui a fait du bien ; mais ce n'était pas lui que le médecin avait vu, c'était un autre. Mac-Guire était vraiment malade ! Et il est maintenant vraiment guéri !
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![]() Le père de Sara refuse que sa fille soit une danseuse. Il n'est pas question que la fille de ce juif Fleishmann soit une Babylone vivante. Un soir de spectacle, trois mois plus tard, le père de Sara surgit au troisième acte, et maudit sa fille. Les uns du public trouvent la scène impressionnante ; les autres veulent se faire rembourser. Le lendemain, le père de Sara meurt. Dans une voiture qui les conduit vers l'Allemagne - un jeune secrétaire, l'ambassadeur de France et elle-même -, Sara aperçoit le cimetière des juifs, repense à la malédiction, puis l'oublie. La voiture tombe dans un fossé ; tous sont blessés ; Sara plus sérieusement, de telle sorte qu'elle meurt le lendemain matin. Son âme se présente devant son juge. Puisque son père l'a maudite, et qu'il est mort sans avoir repris sa malédiction, Sara est bonne pour les ténèbres éternelles. Satan cherche et trouve le châtiment approprié : la faire danser devant le gratin de l'enfer : ministres, banquiers, évêques, cardinaux... Or, alors que les autres danseuses ont des applaudissements, il n'y a que du silence pour Sara (« le roi Satan, qui avait voulu faire cet essai, tint pour certain que le plus grand supplice à infliger à une âme d'artiste, c'est la supériorité de ses rivales ») qui dansera pour l'éternité, dans la solitude.
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![]() Pierre Chardon épouse Marie Martin. Le père de la mariée, Jean-Baptiste Martin, est traversier. Il fait éduquer sa fille au couvent où elle apprend les tâches ménagères et le piano. Le couple a un enfant. Trois ans plus tard, débarque Ephrem Malandrin, voyageur, parleur et buveur. Lentement, il entraîne Pierre dans les auberges ; d'ailleurs, le commerce de Pierre périclite, car c'est la crise commerciale. L'alcool aide à oublier la déconfiture. Pierre revient à la maison après un tournée de beuverie et apprend que son enfant est mort entretemps. Il repart oublier sa peine et apprend par hasard que sa femme, après la saisie du magasin, est tombée malade et en est morte. Il revient au village et se saoule dans une auberge ; en sortant, il prend le chemin, mais la neige tombe de plus en plus et, à la suite d'un faux pas, Pierre tombe dans un fossé où il meurt gelé.
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![]() Les Iroquois, armés par les habitants de la Nouvelle-Angleterre, attaquent de plus en plus fréquemment les colons de la Nouvelle-France. Dollard et seize jeunes partent affronter les redoutables guerrier. Les Français trouvent un petit fort iroquois qu'ils occupent ; mais sont aussitôt découverts. Les attaques des Iroquois se multiplient ; Dollar tente de lancer un baril de poudre qui cogne contre un pieux et explose à l'intérieur du fort. Les Iroquois entrent et achèvent les survivants. Mais si dix-sept Français ont pu résister à plus de mille ennemis, qu'en sera-t-il des cités défendues par des garnisons entières ?
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![]() Au plus fort de l'hiver, d'Iberville envoient deux hommes, Thomas et Petitjean, sonder une frégate anglaise prise dans la glace de la mer d'Hudson. Les Français sont faits prisonniers par les Anglais et passent l'hiver dans la cave du navire. Au printemps, quand la glace fond, on demande à un des deux prisonniers d'aider à lever les voiles car le scorbut à décimé les Anglais. Thomas suit Smithson mais, sur le pont du bateau, saisit une hache, tue ce dernier, de même que le commandant. Thomas va libérer Petitjean et les deux Français, qui ont saisi des fusils et des couteaux, s'emparent à eux-seuls du restant de l'équipage trop faible et démoralisé pour résister, et ramènent le navire anglais dans un port français.
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![]() Un hérisson défie un lièvre à la course. Le lièvre accepte. Le départ est donnée mais femme du hérisson est cachée à l'arrivée et le lièvre croit avoir perdu. Il recommence la course mais cette fois c'est le hérisson qui est caché à l'autre bout. Le lièvre meurt à la soixante-quatorzième course.
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![]() Un homme offre des pêches à ses quatre fils et à sa femme. Le premier conserve le noyau pour faire pousser un arbre. Le second mange la pêche et la moitié de celle de sa mère, et jette le noyau. Le troisième mange l'amande dans le noyau et vend sa pêche. L'autre la donner à un pauvre. L'un sera jardinier ; l'autre est tout jeune ; l'autre sera marchand ; quant au quatrième, Dieu le lui rendra.
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